C’est le premier livre d’une jeune auteure néerlandaise de 29 ans qui travaille dans une ferme, un véritable best-seller dans toute l’Europe !
[Coup de cœur de libraire] Qui sème le vent de Marieke Lucas Rijneveld
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C’est le premier livre d’une jeune auteure néerlandaise de 29 ans qui travaille dans une ferme, un véritable best-seller dans toute l’Europe !
Quoi de plus jouissif qu’un roman choral réussi ? C’est ce que nous offre à lire l’Étatsunienne Laila Lalami.
Qui a dit qu’enfance n’était qu’insouciance ? Nous sommes en Normandie, en bord de mer, c’est l’été absolu mais le narrateur nous révèle, entre silences épais et bruits du passé, que la noirceur s’infiltre partout.
Malgré cette année perturbée, l’éditeur publie son 8e roman un an après : Été, quelque part, des cadavres, de Park Yeon-seon. Si nous sommes au pays du Matin calme, la Corée, les textes le sont beaucoup moins car il s’agit de romans policiers et de thrillers à la noirceur multiforme.
Après L’Île, dystopie sur l’isolement insulaire qui prend davantage de sens dans le contexte de pandémie mondiale, Sigríður Hagalín Björnsdóttir nous revient avec La Lectrice disparue, roman aux multiples facettes paru chez Gaïa en 2020.
Libre livre. Avec L’Autre Jour, Milène Tournier ne se donne ni sujet ni limites, pour mieux dire la perte, la peur, mais aussi toute la beauté des choses les plus simples de la vie.
Une ode préhistorique à la différence, à la nature et à l’amitié, portée par les mots d’Alexandre Chardin et la chaleur des illustrations de Nathalie Minne.
Gyrdir Eliasson livre ici un subtil nuancier de la solitude et de la création : le noir des maisons, des corbeaux et de la nuit, la blancheur de la neige, de la montagne, de la mer mais aussi de la page vierge.
Où atterrir ? Le projet « Renaissance » parviendra-t-il à sauver l’humanité de sa perte, pensée, voulue et orchestrée par elle-même ?
Et c’est moi que je vois est un ouvrage carré, comme à l’habitude, publié par les éditions du Vistemboir. Il est constitué de photographies prises « sans trucage avec [mon] téléphone mobile », dit l’auteur, en regard desquelles il propose des textes ciselés qui déploient l’image avec beaucoup de sensibilité.