À l’âge de 9 ans, telle était la devise de la « Divine », surnommée ainsi par ses contemporains.
Cette biographie illustrée, au style alerte et vivant, à l’image de cette grande tragédienne à la renommée internationale, nous transporte dans la société du Second Empire jusqu’au début des années 1920.
Hélène Tierchant brosse brillamment le portrait d’une femme libre, anti-conformiste, artiste peintre et sculptrice de talent. Une muse passionnée et intègre, en lutte, entre autres, contre la peine de mort et défendant les droits civils et politiques des femmes.
[Chronique] Sarah Bernhardt, scandaleuse et indomptable d’Hélène Tierchant