La Différence invisible est une bande dessinée scénarisée par Julie Dachez. Elle y raconte son expérience sur un sujet peu connu : le syndrome d’Asperger.
[Coup de cœur de libraire] La différence invisible de Julie Dachez et Mademoiselle Caroline
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La Différence invisible est une bande dessinée scénarisée par Julie Dachez. Elle y raconte son expérience sur un sujet peu connu : le syndrome d’Asperger.
Suzette est la grand-mère adorée de Noémie, jeune fleuriste, avec qui elle partage tout et qui l’a élevée à la mort de sa mère. Quand Suzette perd son mari, Noémie est là pour la soutenir, l’épauler et la distraire. C’est aussi le moment des confidences…
Cogito ergo sum… Mais qu’en est-il de cette maxime de Descartes à l’ère de l’I.A. ? Voilà un sujet que le surprenant Mathieu Bablet n’a pas manqué de traiter. Carbone et Silicium sont des intelligences artificielles. Deux êtres créés autonomes et à l’image de l’humanité.
« Nous étions les derniers à en vivre. Les derniers paysans. » René Bénard est le « dernier paysan » du village de Valmont près de Fécamp. Aujourd’hui âgé de 85 ans, il raconte à Christophe Wargny son histoire et l’évolution du métier d’agriculteur.
Cette anthologie d’illustrations rend hommage aux femmes, réelles ou imaginaires, ces héroïnes d’aventures comme Agnès de Kermellec (L’Épervier) ou celles qui les ont écrites comme Virginia Woolf, des femmes qui lisent, qui inspirent des écrivains ou qui méritent tout simplement d’être reconnues.
Avec cette autofiction, Camille Reynaud signe le récit d’une expérience médicale traumatisante, de la peur de la dilution de soi et des pouvoirs de l’écriture pour résister et se reconstruire.
Entre enfance et âge adulte, première et troisième personne du singulier, existence et disparition, marche et errance, tumulte et silence, le lecteur suit Toni, le temps d’une journée, décisive : celle de ses 20 ans et d’un match de foot.
Une œuvre riche, frappante, émouvante et nécessaire, dont on ignore si elle est autobiographique ou si elle narre des faits vécus par ses connaissances, Sara Omar gardant le secret. Le second opus, déjà publié au Danemark, montre quant à lui le caractère battant de Frmesk.
Un an et demi après, le bébé a bien grandi : 150 rencontres, des centaines de lecteurs fidélisés, l’organisation d’un prix et de deux soirées spéciales rentrée littéraire, ont permis à Vleel de se faire remarquer. Les demandes de maisons d’édition affluent et les projets ne manquent pas pour poursuivre la dynamique.
Dans une atmosphère très XIXe siècle, la maison de l’écrivain Alfred Canel, à Pont-Audemer, invite à découvrir un grand intellectuel humaniste de son époque. Au gré de collections variées et très riches, le reflet du parcours d’un homme, cultivé, passionné et collectionneur.